Tharro

De Wiki Pathfinder Lacrypte
Révision datée du 27 mai 2014 à 12:33 par Errius (discussion | contributions)
(diff) ◂ Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante ▸ (diff)
Aller à la navigation Aller à la recherche

ville talestrienne dont les soldats ont un uniforme rouge. Son blason représente une tour face à une main ouverte. On y trouve le Temple de l'Epée, siège de l'ordre des Moines de l'Epée.

Descriptions

Par la Porte Sud: Alors que le soleil disparaît lentement à l'horizon, vous voyez enfin la ville de Tharro se profiler au bout de la route. De hauts remparts de torchis abritent les nombreuses maisons qui sont regroupées au sommet d'un petit relief herbu appelé Colline de la Forteresse. Des soldats en uniforme rouge et gris arpentent le mur d'enceinte, et deux sentinelles montent la garde près des portes donnant accès au quartier sud de la ville. Vous suivez la route poussiéreuse et traversez un pont en pierre qui enjambe le canal artificiel entourant Tharro. Après le pont, vous vous engagez sur la rampe d'accès qui conduit au corps de garde. Près de la porte, un soldat à la mâchoire carrée, vêtu d'une cotte de mailles en argent, vous interroge sur la raison de votre venue en ville.[1]

Vous passez sous le grand porche du corps de garde, puis vous pénétrez sur une vaste place d'où partent deux avenues : la rue du Cuivre et l'allée du Pied de Cochon.[2]


Par la rivière : Le soleil est déjà bas lorsque vous voyez enfin Tharro se profiler à l'horizon. Les robustes remparts en torchis dominent la vallée du haut de la colline où la ville fut construite, voilà plusieurs centaines d'années. La barge s'engage dans un chenal creusé parallèlement à la rivière, puis passe sous un pont en bois étayé par de gros piliers avant de s'arrêter enfin en face de deux grandes portes en fer rouillé qui bloquent les eaux du canal. Après avoir été chercher vos chevaux, vous débarquez en compagnie des autres passagers. Vous prenez ensuite place dans la longue file d'attente qui s'étire devant les portes de la forteresse...Vous arrivez sur la place de la Rivière d'où partent trois artères : la rue du Cuivre, l'allée du Globe et l'avenue du Flacon. A l'ouest, la rue du Cuivre, l'allée du Globe vers le nord, au nord-ouest l'avenue du Flacon. [3]

L'allée du Globe vers le nord

Vous suivez l'allée du Globe en passant successivement par les quartiers des chaudronniers, des cordonniers et des charpentiers, puis vous débouchez sur une petite place. Un poteau fléché indique une avenue qui s'enfonce dans l'ombre. Droit devant vous, l'allée continue, flanquée d'un côté par une enfilade de petites échoppes et, de l'autre, par le mur d'enceinte de la ville.[4]

En continuant la rue mène à l'avenue du Flacon.

Au nord-ouest l'avenue du Flacon

En continuant la rue: Seul un magasin reste ouvert; d'après l'enseigne accrochée au-dessus de la porte, vous pouvez lire : RHOLA RHADA - CARTOGRAPHE[5]

En continuant la rue: Vous débouchez sur une place pavée...[6]

A l'ouest, la rue du Cuivre

La rue pavée mène à un grand édifice aux murs blancs et lisses ne portant pour seuls ornements que les stigmates du temps. Un groupe d'artisans se tient à l'extérieur, sous une rangée de lanternes. Ils collent des plumes sur de minces bâtons de bois et travaillent avec la rapidité et l'habileté qui sont l'apanage des bons ouvriers, transformant les tiges en flèches d'excellente qualité.[7]

La place pavée

Vous débouchez sur une place pavée, brillamment illuminée par une rangée de lanternes accrochées sous le péristyle d'un grand bâtiment peu commun. Les murs sont constitués de gros blocs de pierre bleue où courent des veines d'argent et ils ont été polis comme un miroir. Une grande porte bardée de cuivre marque l'entrée de l'édifice. Elle est surmontée d'un moulage en bronze en forme d'épée flamboyante, portant en exergue le long de la lame : « Temple de l'Épée. » De l'autre côté de la place, une ruelle monte vers une tour de guet bâtie au sommet de la colline qui domine la ville.[8]

tour de guet bâtie: « Le Gouverneur Nehdra n'habite pas là, rétorque le garde. Ici, c'est la prison de la ville ! » L'homme vous dévisage en plissant les yeux d'un air soupçonneux, comme si Païdo et vous représentiez pour lui des clients en puissance. « Au bout d'la rue du Cuivre, à côté du Temple de l'Épée, vous verrez une tour : c'est la résidence du Gouverneur. Mais j'espère que vous avez un bon motif pour le déranger à c't'heure, sinon vous reviendrez passer la nuit ici ! »[9]

Temple de l'Épée : A gauche de la porte du temple, vous remarquez trois symboles gravés dans la pierre de bleu: un lit, un cheval et une miche de pain. Au cours de vos voyages précédents, vous avez souvent vu de tels signes ; ils indiquent clairement que les moines de ce temple offrent le gîte et le couvert aux voyageurs ainsi qu'à leurs montures.[10]

Vous grimpez les quelques marches qui mènent à la porte du temple. Un vieil homme en soutane marron vient vous ouvrir et vous prie d'entrer, tandis qu'un novice arrive pour s'occuper de vos chevaux. En franchissant le seuil, vous avez l'impression de pénétrer dans un autre monde. L'air est chargé de lourdes senteurs d'encens et une rangée de cierges rouges à moitié consumés répand une lumière vacillante, parcimonieuse, qui confère aux lieux une atmosphère mystérieuse et confinée. Vous suivez le vieil homme le long d'un couloir voûté, puis vous empruntez plusieurs escaliers avant de déboucher dans un grand réfectoire brillamment illuminé par des torches. Une délicieuse odeur de cuisine vous parvient par un passe-plat percé dans le mur du fond, accompagnée d'un cliquetis de vaisselle et d'ustensiles maniés par les hommes qui s'affairent à l'office. « Asseyez-vous et daignez partager notre modeste repas, vous dit votre guide en désignant une grande table en chêne massif dressée pour le dîner. Puisse cette humble nourriture chasser la fatigue de votre voyage et vous procurer de nouvelles forces pour la route de demain. >» Sur ce, un autre moine entre dans le réfectoire en apportant deux écuelles fumantes et odorantes qu'il dépose devant vous après les avoir bénies par les mots «gajkog zutag».[11]

Références

  1. Loup Solitaire Tome 8 - 135
  2. Loup Solitaire Tome 8 - 68
  3. Loup Solitaire Tome 8 - 266
  4. Loup Solitaire Tome 8 - 82
  5. Loup Solitaire Tome 8 - 332
  6. Loup Solitaire Tome 8 - 204
  7. Loup Solitaire Tome 8 - 35
  8. Loup Solitaire Tome 8 - 204
  9. Loup Solitaire Tome 8 - 286
  10. Loup Solitaire Tome 8 - 327
  11. Loup Solitaire Tome 8 - 78