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:''—Devotion to the Seven Forms''
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Alors que le "Puits de la Vertu souillée" lui-même n'est probablement pas une connaissance commune ou même ésotérique, les PJs qui rencontrent des statues, des icônes et d'autres représentations de Lissala et de sa foi peuvent se rappeler ce qu'ils savent de cette religion obscure et oubliée.
15+ Lissala était une déesse principalement vénérée dans l'ancien empire de Thassilon. Son portefeuille comprenait les runes, le destin et les récompenses du service. Sa foi a pris fin en même temps que l'empire, et la déesse elle-même est oubliée ou disparue.
20+ Elle était physiquement représentée comme une femme avec un corps inférieur serpentin, six ailes et une rune en forme de sièdre à la place de sa tête. Les symboles associés à son culte sont les runes, les plumes et les fouets.
25+ Le culte de la déesse a changé avec la nature de l'empire. Au fil du temps, la magie des runes s'est assombrie, la gloire de la servitude a cédé la place à l'auto-flagellation, et les vertus autrefois défendues par ses fidèles ont été perverties en péchés.
30+ Même sans foi vivante, des signes indiquent que la déesse elle-même persiste. Certaines runes anciennes de Thassilon résonnent encore de la magie divine qui lui est liée, et l'on sait que le grand prêtre de sa foi était le Runelord Krune, qui sommeille peut-être encore quelque part dans le monde. <ref>Pathfinder Society -S03-26 Portal of the Sacred Rune</ref>


=Présentation<ref name="etoile">L'Étoile brisée #5</ref>=
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As the goddess of runes, her touch is in every spellbook, every graven glyph, and every sigil and symbol spell, as well as on the flesh of every rune giant, whose race owes its existence to Lissalan rune magic. She teaches that writing is power, whether magical writing or letter-runes used to preserve or convey knowledge. Her followers would sooner burn their own flesh than burn a book, and in her church it is considered a high honor for the dead to have their skin tanned into vellum for use in spellbooks and religious texts, forever associating the person’s remains with magic. The living worshipers prize these books, and a mentor may award such a tome to a journeyman priest or wizard who worked hard or who showed great talent. Tattoos and branding are common among the faithful, and some worshipers even have the text oftheir favorite books or spells etched upon their flesh while still alive, in anticipation of becoming books once they are dead.
En tant que déesse des runes, son toucher est présent dans chaque livre de sorts, chaque glyphe gravé, et chaque sort de sceau et de symbole, ainsi que sur la chair de chaque géant des runes, dont la race doit son existence à la magie des runes lissaliennes. Elle enseigne que l'écriture est un pouvoir, qu'il s'agisse de l'écriture magique ou des lettres-runes utilisées pour préserver ou transmettre le savoir. Ses disciples préfèrent brûler leur propre chair plutôt que de brûler un livre, et dans son église, on considère comme un grand honneur pour les morts de voir leur peau tannée dans du vélin pour être utilisée dans les livres de sorts et les textes religieux, associant à jamais les restes de la personne à la magie. Les adorateurs vivants récompensent ces livres, et un mentor peut remettre un tel tome à un prêtre compagnon ou à un sorcier qui a travaillé dur ou qui a fait preuve d'un grand talent. Les tatouages et les marques sont courants chez les fidèles, et certains adorateurs font même graver le texte de leurs livres ou sorts préférés sur leur chair alors qu'ils sont encore en vie, dans l'espoir de devenir des livres une fois qu'ils seront morts.


Lissala manifests as a stern-looking, fair-skinned woman, likely ofAzlanti descent, but there is something strange and alien about her eyes, and she has no mouth—the lower part of her face is smooth flesh, though she is able to speak and cast spells as if she had a mouth. She normally appears wearing severe robes of green and gold, usually with a snakeskin pattern and a Sihedron rune, and faintly visible on her back are six ghostly, transparent bird wings. Alternatively (especially when she expects battle), she sometimes takes the form ofa lillend-like creature with a snake body, wings, and a Sihedron in place of her head. In her presence, time feels slightly stretched, and spoken words and spells often briefly manifest as illusory writing around the speaker. In art she is usually depicted in her humanoid form, though her “battle form” is favored in murals commissioned by evokers and wrath-priests. She is often accompanied by snakes—either actual snakes, snakes of pure energy, or elements of her clothing animating in the shape of serpents.
Lissala se présente comme une femme au regard sévère et à la peau claire, probablement d'origine Azlanti, mais ses yeux ont quelque chose d'étrange et d'étranger, et elle n'a pas de bouche - la partie inférieure de son visage est en chair lisse, bien qu'elle puisse parler et jeter des sorts comme si elle avait une bouche. Elle apparaît normalement vêtue d'une robe sévère verte et dorée, généralement avec un motif en peau de serpent et une rune de sièdre, et l'on peut voir à peine sur son dos six ailes d'oiseau transparentes et fantomatiques. Elle peut aussi (surtout lorsqu'elle s'attend à une bataille) prendre la forme d'une créature allongée, avec un corps de serpent, des ailes et un sièdre à la place de la tête. En sa présence, le temps semble légèrement étiré, et les mots prononcés et les sorts se manifestent souvent brièvement sous la forme d'une écriture illusoire autour de l'orateur. Dans l'art, elle est généralement représentée sous sa forme humanoïde, bien que sa "forme de combat" soit privilégiée dans les peintures murales commandées par les évocateurs et les prêtres de la colère. Elle est souvent accompagnée de serpents - soit de véritables serpents, soit des serpents de pure énergie, soit des éléments de son vêtement s'animant en forme de serpents.


Lissala shows she is pleased through the momentary appearance ofher strange eyes, snakeskin patterns or subtle runes materializing on paper or stone surfaces, and single peals of deep-toned bells. She may cause a spellcaster to retain a prepared spell after casting it or prevent a scroll from fading when used. When she is angry, work slows, writing becomes incomprehensible, plans are delayed, and minions disobey their masters or mishear commands.
Lissala montre qu'elle est satisfaite par l'apparition momentanée de ses yeux étranges, des motifs en peau de serpent ou de subtiles runes qui se matérialisent sur des surfaces de papier ou de pierre, et des cloches aux sons profonds. Elle peut faire en sorte qu'un lanceur de sorts conserve un sort préparé après l'avoir lancé ou empêcher un parchemin de s'effacer lorsqu'il est utilisé. Lorsqu'elle est en colère, le travail ralentit, l'écriture devient incompréhensible, les plans sont retardés et les serviteurs désobéissent à leurs maîtres ou entendent mal les ordres.


Lissala is lawful evil and her portfolio is runes, fate, duty, obedience, and the reward of service. Her favored weapon is the whip. Her holy symbol is a variant of the Sihedron rune, though practitioners of rune magic sometimes use a symbol of a whip twisted into the shape of their keyed rune. Her domains are Evil, Knowledge, Law, Nobility, and Rune. During Thassilon’s heyday, she was revered by most of the population as the goddess of magic, but now her faith is all but forgotten by humans and only persists among rune giants, as her faith led the Thassilonians to create their race. Rumors of scattered cults of Lissala appear in some parts of Varisia, but there is no organized, public institution ofher religion. Historically, most ofher priests were clerics, with some especially devout wizards taking roles in the church hierarchy. Among the scattered modern cults devoted to her, the proportion is closer to half and half with a few oracles (usually with the bones, flame, or lore mysteries) making an appearance. All have ranks in Knowledge (arcana) or Knowledge (history); otherwise, others in the cult would not respect them.
Lissala est un mal légitime et son portefeuille est constitué de runes, de destin, de devoir, d'obéissance et de récompense pour ses services. Son arme préférée est le fouet. Son symbole sacré est une variante de la rune Sihedron, bien que les adeptes de la magie runique utilisent parfois le symbole d'un fouet torsadé en forme de rune à clé. Ses domaines sont le mal, la connaissance, la loi, la noblesse et la rune. À l'époque de Thassilon, elle était vénérée par la majorité de la population comme la déesse de la magie, mais aujourd'hui, sa foi est pratiquement oubliée par les humains et ne persiste que chez les géants des runes, car sa foi a conduit les Thassiloniens à créer leur race. Des rumeurs de cultes dispersés de Lissala apparaissent dans certaines parties de Varisia, mais il n'existe aucune institution publique organisée de sa religion. Historiquement, la plupart de ses prêtres étaient des clercs, certains sorciers particulièrement dévots jouant un rôle dans la hiérarchie de l'église. Parmi les différents cultes modernes qui lui sont consacrés, la proportion est plus proche de la moitié, avec quelques oracles (généralement avec les os, les flammes ou les mystères de l'histoire) qui font leur apparition. Tous ont un rang dans la Connaissance (arcanes) ou le Savoir (histoire) ; sinon, les autres membres du culte ne les respecteraient pas.


Snakes, nagas, and magical ophidians (including couatls and lillends) are sacred to Lissala’s church. The faithful avoid conflicts with such creatures, even if there are alignment issues (such as an evil priest with a lawful good guardian naga). Her followers dislike magic-destroying creatures and things that consume books and other writings, including mundane creatures such as silverfish and moths. This opposition to moths (and butterflies, due to overzealous precautions) often starts feuds with Urgathoa’s and Desna’s followers. Some Lissalans take this aversion to moths to such an extreme that they refuse to wear garments made of silk, though this is not required by the goddess.
Les serpents, les nagas et les ophidiens magiques (y compris les couatls et les lillends) sont sacrés pour l'église de Lissala. Les fidèles évitent les conflits avec ces créatures, même s'il y a des problèmes d'alignement (comme un prêtre maléfique avec un naga gardien du bien légal). Ses fidèles n'aiment pas les créatures destructrices de magie et les choses qui consomment des livres et autres écrits, y compris les créatures mondaines comme les poissons d'argent et les papillons de nuit. Cette opposition aux mites (et aux papillons, en raison de précautions excessives) déclenche souvent des querelles avec les disciples d'Urgathoa et de Desna. Certains Lissaliens poussent cette aversion pour les mites à un tel point qu'ils refusent de porter des vêtements en soie, bien que cela ne soit pas exigé par la déesse.


A typical worshiper ofLissala is a wizard, cleric, scholar, historian, or taskmaster. The faithful perform magical research, train others to use spells, use their knowledge to fortify their communities, or magically control creatures for that purpose. They are hard-working, driven, fastidious, and used to slow progress toward goals.
Un adorateur typique de Lissala est un sorcier, un clerc, un érudit, un historien ou un maître d'œuvre. Les fidèles effectuent des recherches magiques, forment d'autres personnes à l'utilisation de sorts, utilisent leurs connaissances pour fortifier leurs communautés ou contrôlent des créatures par la magie dans ce but. Ils sont travailleurs, motivés, méticuleux et utilisés pour ralentir la progression vers leurs objectifs.


Worship services involve reading aloud and transcribing scrolls, spellbooks, or Lissala’s holy text. Priests create or reinforce the magical wards in and around the temple and report progress on magical research. Apprentices and
Les services de culte consistent à lire à haute voix et à transcrire des parchemins, des livres d'épellation ou le texte sacré de Lissala. Les prêtres créent ou renforcent les salles magiques à l'intérieur et autour du temple et font état des progrès de la recherche en matière de magie. Les apprentis et les acolytes n'ont pratiquement aucun rôle dans les cérémonies du temple, car ils n'ont pas encore fait leurs preuves. Pendant les services, ces membres mineurs de l'église s'affairent à façonner des piquants pour l'écriture, à meuler des styles pour graver la pierre ou l'argile, à préparer le parchemin, le vélin et le papier, à polir des plaques de pierre pour la gravure ou à cuire des tablettes d'argile marquées.
acolytes have almost no role in temple ceremonies, as they have not yet proven themselves. During services these minor members of the church busy themselves fashioning quills for writing; grinding styluses for scribing stone or clay; preparing parchment, vellum, and paper; polishing stone plates for scribing; or firing marked clay tablets.


Lissala teaches that marriage is an excellent cultural tradition and a long-term commitment between two (or more) people. Whether a marriage is for love or arranged for political or familial purposes, she expects spouses to fulfill their marital oaths, and is intolerant ofadultery or other violations of the expected contract. She expects that one person in the marriage is dominant and the other(s) should defer to that one. She does not require this pattern of dominance to be defined in the marriage oaths, though if the spouses wish to do so, it suits her. Members of the church are not required to have children (whether they are conceived naturally, adopted, or magically created), but children are expected to obey their parents or guardians. Parents may raise their own children or rely on employees or an external institution to do so for them.
Lissala enseigne que le mariage est une excellente tradition culturelle et un engagement à long terme entre deux (ou plusieurs) personnes. Qu'il s'agisse d'un mariage d'amour ou d'un mariage arrangé à des fins politiques ou familiales, elle attend des époux qu'ils remplissent leurs serments conjugaux, et ne tolère pas l'adultère ou d'autres violations du contrat attendu. Elle s'attend à ce qu'une personne du mariage soit dominante et que l'autre (ou les autres) s'en remette à elle. Elle n'exige pas que ce modèle de domination soit défini dans les serments de mariage, bien que si les conjoints le souhaitent, cela lui convienne. Les membres de l'église ne sont pas tenus d'avoir des enfants (qu'ils soient conçus naturellement, adoptés ou créés par la magie), mais les enfants sont censés obéir à leurs parents ou tuteurs. Les parents peuvent élever leurs propres enfants ou compter sur des employés ou une institution externe pour le faire à leur place.


=Test de Connaisance  (religion)=
=Test de Connaisance  (religion)=
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=Temples et Sanctuaires<ref name="etoile">L'Étoile brisée #5</ref>=
=Temples et Sanctuaires<ref name="etoile">L'Étoile brisée #5</ref>=


Temples are traditionally built or carved from dense stone, and constructed to last for hundreds of years. Wood is too combustible and brick is too fragile (especially against earthquakes) for a sacred space devoted to the goddess. Many holy sites are made of magically conjured stone or by creating chambers in natural rock with acid, disintegrate spells, or the work of enslaved giants. The entry and ritual chambers are usually septagonal and decorated with a large Sihedron mosaic. During the era ofThassilon, most of the temples adopted one of the seven vices as a theme (usually associated with the runelord who controlled that territory), but this was not a requirement, and there are a few temples that are not dedicated in this fashion.
Les temples sont traditionnellement construits ou sculptés dans une pierre dense, et construits pour durer des centaines d'années. Le bois est trop combustible et la brique trop fragile (surtout en cas de tremblement de terre) pour un espace sacré consacré à la déesse. De nombreux sites sacrés sont faits de pierre conjurée par magie ou en créant des chambres dans la roche naturelle avec de l'acide, des sorts de désintégration ou l'œuvre de géants asservis. L'entrée et les chambres rituelles sont généralement septagonales et décorées d'une grande mosaïque en sièdre. À l'époque de Thassilon, la plupart des temples ont adopté l'un des sept vices comme thème (généralement associé au seigneur runique qui contrôlait ce territoire), mais ce n'était pas une exigence, et il existe quelques temples qui ne sont pas dédiés de cette façon.


The few people living today who have explored Lissalan temples may assume they are hidden, convoluted affairs with traps, but those were only nominally temples and primarily served as secret places to perform obscure rituals in service to the runelords. During the time of Thassilon, Lissala’s worship was public and common, and her temples had a very different structure. A typical public temple was a large, sprawling building or complex with spaces for many priests, servants, and slaves to live and work, with kitchens and food stores to support all of the temple’s inhabitants. Most activity related to the crafting and maintenance of spells and items to protect and expand the reach of Emperor Xin or the runelords; this required creating parchment and vellum, inscribing scrolls or glyphs, carving blocks into runestones, inscribing weapons and armor with protective runes, practicing means of magical tattooing and branding, and so on. Amid all of this activity, priests whose labors had earned them time to study established lore or to engage in magical research, usually in secluded rooms that muffled the noise of the temple’s other activities. Most temples also contained a small cemetery or crypt for important members of the faith who had passed on. These features made the Lissalan temples much like self contained cities or fortresses and allowed the priests to survive the many food riots that happened as Thassilon declined.
Les rares personnes vivant aujourd'hui qui ont exploré les temples lissaliens peuvent supposer qu'il s'agit d'affaires cachées, alambiquées avec des pièges, mais ceux-ci n'étaient que nominalement des temples et servaient principalement de lieux secrets pour accomplir d'obscurs rituels au service des seigneurs runiques. À l'époque de Thassilon, le culte de Lissala était public et commun, et ses temples avaient une structure très différente. Un temple public typique était un grand bâtiment ou un complexe tentaculaire avec des espaces pour que de nombreux prêtres, serviteurs et esclaves puissent vivre et travailler, avec des cuisines et des réserves de nourriture pour subvenir aux besoins de tous les habitants du temple. La plupart des activités étaient liées à l'élaboration et à l'entretien de sorts et d'objets destinés à protéger et à étendre la portée de l'empereur Xin ou des seigneurs runiques ; il fallait pour cela créer du parchemin et du vélin, inscrire des parchemins ou des glyphes, sculpter des blocs dans des pierres runiques, inscrire des armes et des armures avec des runes de protection, pratiquer des moyens de tatouage et de marquage magiques, etc. Au milieu de toutes ces activités, des prêtres dont le travail leur a permis d'étudier les coutumes établies ou de faire des recherches sur la magie, généralement dans des pièces isolées qui étouffent le bruit des autres activités du temple. La plupart des temples contenaient également un petit cimetière ou une crypte pour les membres importants de la foi qui étaient décédés. Ces caractéristiques ont fait des temples lissaliens des villes ou des forteresses autonomes et ont permis aux prêtres de survivre aux nombreuses émeutes de la faim qui ont eu lieu pendant le déclin de Thassilon.


Shrines to Lissala were common, typically human-sized blocks of hard stone graven with the Sihedron rune and traced with dozens of smaller runes, often added long after the original stone was consecrated. Green marble and gray stone with flecks of gold were the most common types of stone used for the shrines. Often these shrines were used to store, direct, or reinforce wards or other magical effects, such as magic that prevented slaves from rebelling. Many of these shrines have a lingering magical power, long dormant but still waiting for a priest to awaken them.
Les sanctuaires de Lissala étaient courants, généralement des blocs de pierre dure de taille humaine gravés avec la rune Sihedron et tracés avec des dizaines de runes plus petites, souvent ajoutées longtemps après la consécration de la pierre originale. Le marbre vert et la pierre grise avec des taches d'or étaient les types de pierre les plus utilisés pour les sanctuaires. Souvent, ces sanctuaires étaient utilisés pour stocker, diriger ou renforcer les gardes ou d'autres effets magiques, comme la magie qui empêchait les esclaves de se rebeller. Beaucoup de ces sanctuaires ont un pouvoir magique persistant, longtemps en sommeil mais attendant toujours qu'un prêtre les réveille.


=Rôle du Prêtre<ref name="etoile">L'Étoile brisée #5</ref>=
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Priests are taught that obedience to one’s superiors is absolutelynecessary, that following orders is a minorform of prayer, and that the goddess awards knowledge to those who serve faithfully. Every priest knows exactly whom she reports to in the church hierarchy and exactly which underlings she can command, as well as whose instructions are merely suggestions and whose minions are to be left alone. Each day is a regimented list ofactivities, with work, worship, meals, leisure, celebration, and sleep all given specific time periods so the temple as a whole functions smoothly. To deviate from these plans causes disruptions; for example, being late to a meal means the kitchen is overtaxed feeding extra people at a certain hour, loud worship or celebration at inappropriate times may awaken others scheduled to sleep at that time, and so on. Priests quickly learn the value of this kind of scheduling and tend to anger quickly when dealing with others who are more relaxed about schedules and deadlines.
On enseigne aux prêtres que l'obéissance à ses supérieurs est absolument nécessaire, que suivre les ordres est une forme mineure de prière et que la déesse accorde la connaissance à ceux qui servent fidèlement. Chaque prêtre sait exactement à qui il rend des comptes dans la hiérarchie de l'église et quels sont les subordonnés qu'il peut commander, ainsi que les instructions qui ne sont que des suggestions et les sous-fifres qu'il doit laisser tranquilles. Chaque jour est une liste régimentée d'activités, le travail, le culte, les repas, les loisirs, les célébrations et le sommeil étant tous à des moments précis afin que le temple dans son ensemble fonctionne sans problème. S'écarter de ces plans entraîne des perturbations ; par exemple, si un repas est pris en retard, la cuisine est surchargée de personnes supplémentaires à une certaine heure, un culte bruyant ou une célébration à des heures inappropriées peut réveiller d'autres personnes qui doivent dormir à cette heure, etc. Les prêtres apprennent rapidement la valeur de ce type d'horaire et ont tendance à se mettre rapidement en colère lorsqu'ils ont affaire à des personnes plus détendues en ce qui concerne les horaires et les délais.


In an adventuring party or even a common travel situation, a priest likes to create a schedule for the group and expects everyone to comply with it, including brief rests during the day and assigning who is on watch at night. If the priest’s companions fail to comply, the priest may retaliate by exaggerating her activities to bother others, such as praying loudly to herself when others are trying to sleep.
Dans une fête d'aventure ou même dans une situation de voyage courante, un prêtre aime établir un horaire pour le groupe et s'attend à ce que tout le monde le respecte, y compris les brefs repos pendant la journée et l'affectation des personnes de garde la nuit. Si les compagnons du prêtre ne s'y conforment pas, le prêtre peut se venger en exagérant ses activités pour déranger les autres, comme par exemple en se privant à voix haute lorsque les autres essaient de dormir.


Priests appreciate others who are knowledgeable and willing to teach about an area of expertise. For example, if a priest has no interest in or talent for battle tactics but travels with an experienced mercenary or military officer, the priest looks to that person for advice in combat about which foe is the most dangerous, which allies are expendable, and when to retreat. A smart priest is able to compartmentalize when he is directing others (such as by setting a schedule for a caravan) from when he should follow another’s orders (such as obeying an officer’s battle commands). Others may find the transition from bossy schedule-maker to taciturn battle healer jarring and uncharacteristic, but to the priest it is a well-developed coping mechanism learned in a temple of complex overlapping hierarchies.
Les prêtres apprécient les personnes qui sont bien informées et disposées à enseigner dans un domaine de compétence. Par exemple, si un prêtre n'a aucun intérêt ou talent pour les tactiques de combat mais qu'il voyage avec un mercenaire ou un officier militaire expérimenté, il se tourne vers cette personne pour obtenir des conseils au combat sur l'ennemi le plus dangereux, les alliés dont on peut se passer et le moment où il faut battre en retraite. Un prêtre intelligent est capable de compartimenter le moment où il dirige les autres (par exemple en fixant un horaire pour une caravane) de celui où il doit suivre les ordres d'un autre (par exemple en obéissant aux ordres de bataille d'un officier). D'autres peuvent trouver la transition d'un planificateur autoritaire à un guérisseur taciturne peu caractéristique, mais pour le prêtre, c'est un mécanisme d'adaptation bien développé, appris dans un temple de hiérarchies complexes qui se chevauchent.


As Thassilon grew more decadent, so did Lissala’s priesthood, though this was a reflection of the country’s culture and not a directive of the goddess. In earlier centuries, the church encouraged lazy acolytes to seek careers outside the priesthood and sold weak-willed slaves
Alors que Thassilon se décadensait, le sacerdoce de Lissala s'est également développé, bien que ce soit le reflet de la culture du pays et non une directive de la déesse. Au cours des siècles précédents, l'église encourageait les acolytes paresseux à faire carrière en dehors de la prêtrise et vendait des esclaves à faible volonté à d'autres temples. Avec le temps, la prêtrise s'est durcie et la flagellation est devenue une pratique courante parmi les sous-fifres et les esclaves, soit pour punir des erreurs mineures, soit pour la satisfaction du clergé supérieur. Le fouet de Lissala est devenu une menace active plutôt qu'un subtil rappel d'encouragement. Chaque temple adopta l'un des sept vices et concentra sa magie sur ce vice. L'auto-mortification devint une pratique courante ; les prêtres marquèrent des runes dans leur chair pour montrer leur dévotion, impressionner leurs collègues et purger de leur corps les faibles impulsions et les vices rivaux. Les grands prêtres avaient souvent des dizaines ou des centaines de runes pour décorer leur corps, et ils ont appris à investir ces runes de pouvoir, un peu comme cela a été fait avec la création des géants des runes. Les factions au sein des églises se sont lancées dans des recherches magiques et ont débloqué de grands et terribles pouvoirs : les prêtres gloutons ont créé des rituels pour se transformer en vampires, les prêtres paresseux ont ralenti leur métabolisme et ont vécu dans un état méditatif de rêve pendant des semaines, et ainsi de suite. Au fil du temps, ces pratiques sont devenues plus importantes pour les prêtres que le véritable culte de la Lissala, et leurs pouvoirs divins se sont affaiblis alors même que leur maîtrise des arcanes s'améliorait. Ces actes n'étaient pas en contradiction avec les enseignements de Lissala (et ont été pratiqués pendant des décennies par des prêtres en règle), mais lorsque la cérémonie séculaire remplace la véritable dévotion et le culte dans une religion, un clerc risque de perdre le lien avec sa déité qui alimente la magie divine. Finalement, Lissala n'a accordé des sorts qu'à quelques membres de la prêtrise, les autres étant devenus depuis longtemps des lanceurs de sorts ou des êtres magiques (dont Runelord Krune, son grand prêtre).
to other temples; over time the priesthood hardened and flagellation became a common practice among underlings and slaves, either as punishments for minor errors or for the gratification of the superior clergy. Lissala’s whip became an active threat rather than a subtle reminder of encouragement. Each temple adopted one of the seven vices and focused its magic on that vice. Self-mortification became common practice; priests branded runes into their flesh to show their devotion, impress colleagues, and purge weak impulses and rival vices from their bodies. Senior priests often had dozens or hundreds of runes decorating their bodies, and learned how to invest these runes with power, much as was done with the creation of rune giants. The factions within the churches delved deep into magical research and unlocked great and terrible powers: gluttony priests created rituals to turn themselves into vampires, sloth priests slowed their metabolisms and lived in a dream-like meditative state for weeks at a time, and so on. Over time, these practices became more important to the priests than actual worship of Lissala, and their divine powers weakened even as their arcane mastery improved. These acts did not conflict with Lissala’s teachings (and were practiced for decades by priests in good standing), but when secular ceremony becomes a replacement for true devotion and worship in any religion, a cleric risks losing the connection to her deity that powers divine magic. Eventually, Lissala was only granting spells to a few members of the priesthood, with the rest having long since become arcane spellcasters or magical beings (including Runelord Krune, her high priest).


With the fall of Thassilon, her few remaining priests went into hiding or suspended animation (or became undead). They instructed their followers to practice the goddess’s teachings in secret and persevere until the time came to awaken the leaders. Most of these hidden cults also revere the seven sins rather than being purely devoted to Lissala, but this may change if she returns in full force and unites her scattered followers.
Avec la chute de Thassilon, les quelques prêtres qui lui restaient se sont cachés ou ont suspendu leur animation (ou sont devenus des morts-vivants). Ils ordonnèrent à leurs disciples de pratiquer les enseignements de la déesse en secret et de persévérer jusqu'au moment de réveiller les chefs. La plupart de ces cultes cachés révèrent également les sept péchés plutôt que d'être purement consacrés à Lissala, mais cela pourrait changer si elle revient en force et unit ses adeptes dispersés.


A priest usually has a mental list or schedule ofthings to accomplish each day. These efforts are coordinated with others in the cult, working together toward a distant but achievable goal. In civilized lands, her priests may pretend to be followers of Nethys or Pharasma, speaking words of wisdom about magic and fate. In evil lands they may pretend to serve Asmodeus, encouraging obedience and diabolical conjuration. Her priests are patient and methodical, enduring hardships, indignity, and the inner outrage of speaking false prayers to another god instead of true ones to Lissala. Ifa priest follows a mortification cult, a hidden space on her body may be the site of many overlapping cuts—a secret ritual of faith and obedience to honor the priest’s true beliefs.
Un prêtre a généralement une liste mentale ou un calendrier des choses à accomplir chaque jour. Ces efforts sont coordonnés avec d'autres membres de la secte, travaillant ensemble vers un objectif lointain mais réalisable. Dans les pays civilisés, ses prêtres peuvent se faire passer pour des adeptes de Nethys ou de Pharasma, en prononçant des paroles de sagesse sur la magie et le destin. Dans les pays maléfiques, ils peuvent prétendre servir Asmodée, encourageant l'obéissance et la conjuration diabolique. Ses prêtres sont patients et méthodiques, endurant des épreuves, l'indignité et l'indignation intérieure de dire de fausses prières à un autre dieu au lieu de vraies prières à Lissala. Le prêtre d'Ifa suit un culte de mortification, un espace caché sur son corps peut être le site de nombreuses coupures qui se chevauchent - un rituel secret de foi et d'obéissance pour honorer les vraies croyances du prêtre.


Formal dress for the clergy is a tan or yellow robe with a billowing green cloak. Snakeskin and Sihedron decorations are common but are not required except for higher-ranking clergy. Ceremonial garb may include a snake-patterned skullcap and a metal frame worn on the shoulders that supports several majestic but fragile wings crafted of wire and bird feathers. Scars, brands, and tattoos in the shape of runes are common (especially in mortification cults) but not necessary.
La robe officielle du clergé est une robe jaune ou beige avec un manteau vert. Les décorations en peau de serpent et en siphon sont courantes mais ne sont pas obligatoires, sauf pour le clergé de haut rang. La tenue de cérémonie peut comprendre une calotte à motif de serpent et une armature métallique portée sur les épaules qui soutient plusieurs ailes majestueuses mais fragiles faites de fil de fer et de plumes d'oiseaux. Les cicatrices, marques et tatouages en forme de runes sont courants (surtout dans les cultes de mortification) mais pas nécessaires.


Traditionally, the church ofLissala was heavily involved in the local community, contributing magic to build defenses and providing slaves and charmed minions to assist in tasks throughout the city. For a secret cultist, interaction with the community follows a similar role to whatever faith the priest is emulating, though usually emphasizing service.
Traditionnellement, l'église de Lissala était très impliquée dans la communauté locale, contribuant à la magie pour construire les défenses et fournissant des esclaves et des sous-fifres charmés pour aider à des tâches dans toute la ville. Pour un cultivateur secret, l'interaction avec la communauté suit un rôle similaire à celui de la foi que le prêtre imite, bien qu'il mette généralement l'accent sur le service.


=Texte Saint<ref name="etoile">L'Étoile brisée #5</ref>=
=Texte Saint<ref name="etoile">L'Étoile brisée #5</ref>=


The official holy book of the church is Devotion to the Seven Forms, consisting ofeight chapters. The first chapter explains the tenets of the faith, with the others each explaining one of the seven worthy schools of magic (abjuration, conjuration, enchantment, evocation, illusion, necromancy, and transmutation), and emphasizing the relationship between runes and magical power. In the most valuable copies, the opening page of a chapter is made of human skin donated by one of the faithful, and the introductory text was tattooed or branded on it while the person was still alive. Most copies of her book were lost or destroyed in the fall of Thassilon, and those in the hands of sin cultists may have been revised to inflate the importance of their chosen sin.
Le livre saint officiel de l'église est la Dévotion aux Sept Formes, qui comprend huit chapitres. Le premier chapitre explique les principes de la foi, les autres expliquant chacun l'une des sept écoles magiques dignes d'intérêt (abjuration, conjuration, enchantement, évocation, illusion, nécromancie et transmutation), et mettant l'accent sur la relation entre les runes et le pouvoir magique. Dans les exemplaires les plus précieux, la première page d'un chapitre est faite de peau humaine donnée par un des fidèles, et le texte d'introduction y est tatoué ou marqué du vivant de la personne. La plupart des exemplaires de son livre ont été perdus ou détruits lors de la chute de Thassilon, et ceux qui se trouvaient entre les mains des adeptes du culte du péché ont peut-être été révisés pour gonfler l'importance du péché qu'ils avaient choisi.


=Aphorisme<ref name="etoile">L'Étoile brisée #5</ref>=
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Because her faith changed much over the last few hundred years ofThassilon and the surviving cults are hidden and may be practicing corruptions of her original teachings, it is unclear which phrases date back to the original faith, as none are direct quotations from her holy text.
Comme sa foi a beaucoup changé au cours des quelques derniers siècles de Thassilon et que les cultes survivants sont cachés et pratiquent peut-être des corruptions de ses enseignements originaux, il n'est pas clair quelles phrases remontent à la foi originale, car aucune n'est une citation directe de son saint texte.


=Jours Saints<ref name="etoile">L'Étoile brisée #5</ref>=
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The holy text describes various holidays associated with stellar conjunctions and their specific relationships to the seven schools of true magic. The decadent church has added its own holiday and ritual tied to rune magic.
Le texte sacré décrit diverses fêtes associées aux conjonctions stellaires et leurs relations spécifiques avec les sept écoles de la vraie magie. L'église décadente a ajouté sa propre fête et son propre rituel liés à la magie runique.


Feast of Sigils: In its original form, the priests held this ritual on 3 holy days during the year. The feast links the souls of the participants—drawing their power into runes drawn in wine, wax, blood, perfume, and food— amplifies this energy, then returns it to the feasters, who gain more than what they put in. In decadent Thassilon (and in modern practice), nonspellcasters joined the feast, inadvertently losing their life energy to the feast, which increased the power ofthe priests.
Fête des Sigils : Dans sa forme originale, les prêtres organisaient ce rituel lors de 3 jours saints dans l'année. La fête relie les âmes des participants - en puisant leur pouvoir dans les runes tirées du vin, de la cire, du sang, du parfum et de la nourriture - amplifie cette énergie, puis la restitue aux festins, qui gagnent plus que ce qu'ils y mettent. Dans le Thassilon décadent (et dans la pratique moderne), les non-chanteurs se joignaient à la fête, perdant par inadvertance leur énergie vitale au profit de la fête, ce qui augmentait le pouvoir des prêtres.


=Relation avec les autres Religions<ref name="etoile">L'Étoile brisée #5</ref>=
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Lissala is an evil goddess but had amiable relationships with all the deities of Thassilon, even Desna (though modern Desnans would have little love for her church). She had a fierce rivalry with Amaznen, the Azlanti god of magic, but he may have been killed during Earthfall and his worship was outlawed in Thassilon, leaving her supreme in magic. In modern Golarion, she has had no interaction with any known deities for thousands of years.
Lissala est une déesse maléfique, mais elle a eu des relations amicales avec toutes les divinités de Thassilon, même Desna (bien que le Desnans moderne n'aurait pas beaucoup d'amour pour son église). Elle avait une rivalité féroce avec Amaznen, le dieu de la magie Azlanti, mais il a peut-être été tué lors de la chute de la Terre et son culte a été interdit à Thassilon, ce qui lui a laissé le pouvoir suprême en matière de magie. Dans le Golarion moderne, elle n'a eu aucune interaction avec aucune divinité connue depuis des milliers d'années.


=Nouveaux Sorts<ref name="etoile">L'Étoile brisée #5</ref>=
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Clerics ofLissala may prepare sepia snake sigil as a 3rd-level spell and explosive runes as a 3rd-level spell. In addition, her priests have access to the following spell.
Les clercs de Lissala peuvent préparer le sceau du serpent sépia comme sort de troisième niveau et des runes explosives comme sort de troisième niveau. En outre, ses prêtres ont accès au sort suivant.


===Lissalan Snake Sigil===
===Lissalan Snake Sigil===


School see text; Level cleric 3, sorcerer/wizard 3 (Lissala) Duration permanent until discharged; 1 day/level; see text There are seven variants of this spell, one for each ofthe Thassilonian schools of magic. Each functions like sepia snake sigil (and counts as that spell for the purpose of combining other spells that hide or garble text), except instead of trapping the subject, the triggered sigil’s effect depends on this spell’s school. This effect lasts for 1 day/level. This is a curse effect that can be removed via remove curse.
École voir texte ; Niveau clerc 3, sorcier/magicien 3 (Lissala) Durée permanente jusqu'à la sortie ; 1 jour/niveau ; voir texte Il existe sept variantes de ce sort, une pour chacune des écoles de magie thassiliennes. Chacune fonctionne comme un sceau serpent sépia (et compte comme ce sort dans le but de combiner d'autres sorts qui cachent ou déforment le texte), sauf qu'au lieu de piéger le sujet, l'effet du sceau déclenché dépend de l'école de ce sort. Cet effet dure 1 jour/niveau. Il s'agit d'un effet de malédiction qui peut être supprimé par le biais de la fonction Supprimer la malédiction.


'''Abjuration:''' All beneficial magical effects on the target last half as long as normal.
'''Abjuration:''' All beneficial magical effects on the target last half as long as normal.

Version actuelle datée du 9 octobre 2022 à 11:46

lissala
“No -worthwhile reward comes without -work, service, or sacrifice,
—Devotion to the Seven Forms

Test de connaissance Religion

Lissala statue
Lissala statue

Alors que le "Puits de la Vertu souillée" lui-même n'est probablement pas une connaissance commune ou même ésotérique, les PJs qui rencontrent des statues, des icônes et d'autres représentations de Lissala et de sa foi peuvent se rappeler ce qu'ils savent de cette religion obscure et oubliée.

15+ Lissala était une déesse principalement vénérée dans l'ancien empire de Thassilon. Son portefeuille comprenait les runes, le destin et les récompenses du service. Sa foi a pris fin en même temps que l'empire, et la déesse elle-même est oubliée ou disparue.

20+ Elle était physiquement représentée comme une femme avec un corps inférieur serpentin, six ailes et une rune en forme de sièdre à la place de sa tête. Les symboles associés à son culte sont les runes, les plumes et les fouets.

25+ Le culte de la déesse a changé avec la nature de l'empire. Au fil du temps, la magie des runes s'est assombrie, la gloire de la servitude a cédé la place à l'auto-flagellation, et les vertus autrefois défendues par ses fidèles ont été perverties en péchés.

30+ Même sans foi vivante, des signes indiquent que la déesse elle-même persiste. Certaines runes anciennes de Thassilon résonnent encore de la magie divine qui lui est liée, et l'on sait que le grand prêtre de sa foi était le Runelord Krune, qui sommeille peut-être encore quelque part dans le monde. [1]

Présentation[2]

Lissala (lis-sall-uh) est une déesse des arcanes autrefois adoré par les azlantes et les thassilonians. Elle est précise, rigide, diligent, et intolérantes envers la désobéissance, et sa magie et philosophie étaient essentiels à la réussite de l'ascension de thassilon comme empire. De même, le lent rejet de sa foi dans l'empire thassilonians durant ces derniers siècles a grandement contribué à sa chute. Il semble qu'elle s'est retirée de Golarion et n'a plus aucune présence connue dans l'au-delà. La plupart des sages modernes supposent qu'elle est morte, englobée par une autre divinité, ou a voyagé au-delà des plans connus à la recherche d'une sagesse infinie. Les gens du commun en Varisie qui découvrent ses runes les attribuent aux rune des géants ou des cultes démoniaques. Cependant, il semble que certaines des runes magiques de thassilon conservent un lien avec elle et des rumeurs sur de nouveaux prêtres consacrés à cette déesse absent et presque oubliée se répandent.

L'origine de Lissala est inconnue, comme il n'y a pas d'enregistrement Azlant qui expliquent comment elle est devenue une déesse ou quand elle est intervenue pour la première fois dans le monde des mortels. Elle aurait pu être une création des constructeurs de coffre, une descendante du peuple serpent ou une mage Azlanti ayant atteind l'état divin, une première tentative par les aboleths d'établir un contrôle sur les terres arides, ou l'un des premiers mortels a apprendre et perfectionner la magie des dragons. Peu importe comment elle est venue à être, elle fut une divinité bien établi pendant l'empire Azlant, et (contrairement à plusieurs autres dieux Azlant) son pouvoir a survécu après la chute en grâce des Azlants à permis au fondateur Xin de Thassilon de faire de sa religion un élément clé du nouveau pays .

Au summum de son culte, elle était généralement à l'écart, mais répondait aux questions de ceux qui avaient le désir d'apprendre et la volonté de travailler pour la connaissance. La plupart des chercheurs croient que son éventuel retrait de Thassilon était probablement délibérée, mais si lent que la plupart de ses fidèles n'ont jamais réalisé ce qui se passait.

lissala symbol

Comme déesse du dure devoir et de l'obéissance, elle représente la puissance acquise par la pratique, l'étude et la déférence pour un maître. En tant que tel, elle est favorisée par des sorciers plus que par les autres lanceurs de sorts profanes (les bardes et sorciers particulièrement, qui développent la magie par eux même ou sont encouragés à défier l'autorité). Elle est intolérante envers l'insolence et la désobéissance, et soutient l'utilisation des châtiments corporels ou des formes magiques de discipline (y compris les malédictions temporaires et transformations) pour les futurs assistants qui n'apprécient pas leurs mentors. Les apprentis la prient afin qu'ils puissent s'acquitter de leurs tâches essentiellement sans que leurs maîtres ne les punissent de façon déraisonnable pour leurs erreurs; les magiciens prient pour que leurs apprentis soient efficaces, talentueux, et soient valables pour le temps que son maître a perdue, pour son stupide ou incompétent apprenti c'est au mieux inutile et au pire dangereux.

Comme divinité de la récompense des services, elle enseigne que les seules récompenses valables sont celles qui viennent suite à de nombreux efforts. Tout donnée comme cadeau est d'une valeur douteuse, et le récepteur doit se méfier de la motivation de la source. Il est demandé aux apprentis que leurs esprits soient ouverts à tout ce que leurs maîtres peuvent leur enseigner; les assistants demandent que leurs élèves soient reconnaissants pour les connaissances qu'ils leurs sont donnés, et qu'ils deviennent des alliés utiles une fois qu'ils seront autonome.

Comme déesse du destin, elle a une relation compliquée avec Pharasma (qui a également été adoré à Thassilon). L'aspect des sorts de Pharasma est étroitement liée à la prophétie de discernement et de l'épanouissante, alors que l'aspect des sorts de Lissala est plus sur l'acceptation des charges nécessaires, de la persévérant malgré les difficultés, et de la planification à long terme. Elle considère la magie de divination indigne d'étude. Non seulement elle ne la considère pas comme une véritable école de magie (elle n'est pas, en fait, associé à l'un des sept types de magie runique), mais elle croit que cette aide contourne les méthodes appropriées d'apprentissage. La divination n'est pas interdite, mais dédaigné par les fidèles comme la marque d'un amateur. Les Adorateurs sont encouragés à planifier leur vie et les années de recherche magiques à l'avance. Par exemple, ceux qui planifient de devenir liches généralement alloué chaque année du temps pour faire avancer cet objectif, même durant l'apprentissage.

lissala avatar

En tant que déesse des runes, son toucher est présent dans chaque livre de sorts, chaque glyphe gravé, et chaque sort de sceau et de symbole, ainsi que sur la chair de chaque géant des runes, dont la race doit son existence à la magie des runes lissaliennes. Elle enseigne que l'écriture est un pouvoir, qu'il s'agisse de l'écriture magique ou des lettres-runes utilisées pour préserver ou transmettre le savoir. Ses disciples préfèrent brûler leur propre chair plutôt que de brûler un livre, et dans son église, on considère comme un grand honneur pour les morts de voir leur peau tannée dans du vélin pour être utilisée dans les livres de sorts et les textes religieux, associant à jamais les restes de la personne à la magie. Les adorateurs vivants récompensent ces livres, et un mentor peut remettre un tel tome à un prêtre compagnon ou à un sorcier qui a travaillé dur ou qui a fait preuve d'un grand talent. Les tatouages et les marques sont courants chez les fidèles, et certains adorateurs font même graver le texte de leurs livres ou sorts préférés sur leur chair alors qu'ils sont encore en vie, dans l'espoir de devenir des livres une fois qu'ils seront morts.

Lissala se présente comme une femme au regard sévère et à la peau claire, probablement d'origine Azlanti, mais ses yeux ont quelque chose d'étrange et d'étranger, et elle n'a pas de bouche - la partie inférieure de son visage est en chair lisse, bien qu'elle puisse parler et jeter des sorts comme si elle avait une bouche. Elle apparaît normalement vêtue d'une robe sévère verte et dorée, généralement avec un motif en peau de serpent et une rune de sièdre, et l'on peut voir à peine sur son dos six ailes d'oiseau transparentes et fantomatiques. Elle peut aussi (surtout lorsqu'elle s'attend à une bataille) prendre la forme d'une créature allongée, avec un corps de serpent, des ailes et un sièdre à la place de la tête. En sa présence, le temps semble légèrement étiré, et les mots prononcés et les sorts se manifestent souvent brièvement sous la forme d'une écriture illusoire autour de l'orateur. Dans l'art, elle est généralement représentée sous sa forme humanoïde, bien que sa "forme de combat" soit privilégiée dans les peintures murales commandées par les évocateurs et les prêtres de la colère. Elle est souvent accompagnée de serpents - soit de véritables serpents, soit des serpents de pure énergie, soit des éléments de son vêtement s'animant en forme de serpents.

Lissala montre qu'elle est satisfaite par l'apparition momentanée de ses yeux étranges, des motifs en peau de serpent ou de subtiles runes qui se matérialisent sur des surfaces de papier ou de pierre, et des cloches aux sons profonds. Elle peut faire en sorte qu'un lanceur de sorts conserve un sort préparé après l'avoir lancé ou empêcher un parchemin de s'effacer lorsqu'il est utilisé. Lorsqu'elle est en colère, le travail ralentit, l'écriture devient incompréhensible, les plans sont retardés et les serviteurs désobéissent à leurs maîtres ou entendent mal les ordres.

Lissala est un mal légitime et son portefeuille est constitué de runes, de destin, de devoir, d'obéissance et de récompense pour ses services. Son arme préférée est le fouet. Son symbole sacré est une variante de la rune Sihedron, bien que les adeptes de la magie runique utilisent parfois le symbole d'un fouet torsadé en forme de rune à clé. Ses domaines sont le mal, la connaissance, la loi, la noblesse et la rune. À l'époque de Thassilon, elle était vénérée par la majorité de la population comme la déesse de la magie, mais aujourd'hui, sa foi est pratiquement oubliée par les humains et ne persiste que chez les géants des runes, car sa foi a conduit les Thassiloniens à créer leur race. Des rumeurs de cultes dispersés de Lissala apparaissent dans certaines parties de Varisia, mais il n'existe aucune institution publique organisée de sa religion. Historiquement, la plupart de ses prêtres étaient des clercs, certains sorciers particulièrement dévots jouant un rôle dans la hiérarchie de l'église. Parmi les différents cultes modernes qui lui sont consacrés, la proportion est plus proche de la moitié, avec quelques oracles (généralement avec les os, les flammes ou les mystères de l'histoire) qui font leur apparition. Tous ont un rang dans la Connaissance (arcanes) ou le Savoir (histoire) ; sinon, les autres membres du culte ne les respecteraient pas.

Les serpents, les nagas et les ophidiens magiques (y compris les couatls et les lillends) sont sacrés pour l'église de Lissala. Les fidèles évitent les conflits avec ces créatures, même s'il y a des problèmes d'alignement (comme un prêtre maléfique avec un naga gardien du bien légal). Ses fidèles n'aiment pas les créatures destructrices de magie et les choses qui consomment des livres et autres écrits, y compris les créatures mondaines comme les poissons d'argent et les papillons de nuit. Cette opposition aux mites (et aux papillons, en raison de précautions excessives) déclenche souvent des querelles avec les disciples d'Urgathoa et de Desna. Certains Lissaliens poussent cette aversion pour les mites à un tel point qu'ils refusent de porter des vêtements en soie, bien que cela ne soit pas exigé par la déesse.

Un adorateur typique de Lissala est un sorcier, un clerc, un érudit, un historien ou un maître d'œuvre. Les fidèles effectuent des recherches magiques, forment d'autres personnes à l'utilisation de sorts, utilisent leurs connaissances pour fortifier leurs communautés ou contrôlent des créatures par la magie dans ce but. Ils sont travailleurs, motivés, méticuleux et utilisés pour ralentir la progression vers leurs objectifs.

Les services de culte consistent à lire à haute voix et à transcrire des parchemins, des livres d'épellation ou le texte sacré de Lissala. Les prêtres créent ou renforcent les salles magiques à l'intérieur et autour du temple et font état des progrès de la recherche en matière de magie. Les apprentis et les acolytes n'ont pratiquement aucun rôle dans les cérémonies du temple, car ils n'ont pas encore fait leurs preuves. Pendant les services, ces membres mineurs de l'église s'affairent à façonner des piquants pour l'écriture, à meuler des styles pour graver la pierre ou l'argile, à préparer le parchemin, le vélin et le papier, à polir des plaques de pierre pour la gravure ou à cuire des tablettes d'argile marquées.

Lissala enseigne que le mariage est une excellente tradition culturelle et un engagement à long terme entre deux (ou plusieurs) personnes. Qu'il s'agisse d'un mariage d'amour ou d'un mariage arrangé à des fins politiques ou familiales, elle attend des époux qu'ils remplissent leurs serments conjugaux, et ne tolère pas l'adultère ou d'autres violations du contrat attendu. Elle s'attend à ce qu'une personne du mariage soit dominante et que l'autre (ou les autres) s'en remette à elle. Elle n'exige pas que ce modèle de domination soit défini dans les serments de mariage, bien que si les conjoints le souhaitent, cela lui convienne. Les membres de l'église ne sont pas tenus d'avoir des enfants (qu'ils soient conçus naturellement, adoptés ou créés par la magie), mais les enfants sont censés obéir à leurs parents ou tuteurs. Les parents peuvent élever leurs propres enfants ou compter sur des employés ou une institution externe pour le faire à leur place.

Test de Connaisance (religion)

Ceux ayant fait étudié la religion peuvent rappeler plus d'informations sur Lissala.

15+ Lissala n'est pas une divinité habituellement adorée parmi les fidèles d'aujourd'hui.

20+ Elle était une dieu Thassilonian légitime de runes, le destin, l'obéissance et la récompense du service.

25+ Lissala est adoré par Thassilonians comme la Déesse de la magie. Son symbole saint est la Rune de Sihedron, et son arme privilégiée est le fouet. Son culte était connu pour ses flagellations et ses mortifications de chair.

Plus de 30 : Les temples de Lissala sont connus pour bénir les adeptes et maudire les incroyants.[3]

Temples et Sanctuaires[2]

Les temples sont traditionnellement construits ou sculptés dans une pierre dense, et construits pour durer des centaines d'années. Le bois est trop combustible et la brique trop fragile (surtout en cas de tremblement de terre) pour un espace sacré consacré à la déesse. De nombreux sites sacrés sont faits de pierre conjurée par magie ou en créant des chambres dans la roche naturelle avec de l'acide, des sorts de désintégration ou l'œuvre de géants asservis. L'entrée et les chambres rituelles sont généralement septagonales et décorées d'une grande mosaïque en sièdre. À l'époque de Thassilon, la plupart des temples ont adopté l'un des sept vices comme thème (généralement associé au seigneur runique qui contrôlait ce territoire), mais ce n'était pas une exigence, et il existe quelques temples qui ne sont pas dédiés de cette façon.

Les rares personnes vivant aujourd'hui qui ont exploré les temples lissaliens peuvent supposer qu'il s'agit d'affaires cachées, alambiquées avec des pièges, mais ceux-ci n'étaient que nominalement des temples et servaient principalement de lieux secrets pour accomplir d'obscurs rituels au service des seigneurs runiques. À l'époque de Thassilon, le culte de Lissala était public et commun, et ses temples avaient une structure très différente. Un temple public typique était un grand bâtiment ou un complexe tentaculaire avec des espaces pour que de nombreux prêtres, serviteurs et esclaves puissent vivre et travailler, avec des cuisines et des réserves de nourriture pour subvenir aux besoins de tous les habitants du temple. La plupart des activités étaient liées à l'élaboration et à l'entretien de sorts et d'objets destinés à protéger et à étendre la portée de l'empereur Xin ou des seigneurs runiques ; il fallait pour cela créer du parchemin et du vélin, inscrire des parchemins ou des glyphes, sculpter des blocs dans des pierres runiques, inscrire des armes et des armures avec des runes de protection, pratiquer des moyens de tatouage et de marquage magiques, etc. Au milieu de toutes ces activités, des prêtres dont le travail leur a permis d'étudier les coutumes établies ou de faire des recherches sur la magie, généralement dans des pièces isolées qui étouffent le bruit des autres activités du temple. La plupart des temples contenaient également un petit cimetière ou une crypte pour les membres importants de la foi qui étaient décédés. Ces caractéristiques ont fait des temples lissaliens des villes ou des forteresses autonomes et ont permis aux prêtres de survivre aux nombreuses émeutes de la faim qui ont eu lieu pendant le déclin de Thassilon.

Les sanctuaires de Lissala étaient courants, généralement des blocs de pierre dure de taille humaine gravés avec la rune Sihedron et tracés avec des dizaines de runes plus petites, souvent ajoutées longtemps après la consécration de la pierre originale. Le marbre vert et la pierre grise avec des taches d'or étaient les types de pierre les plus utilisés pour les sanctuaires. Souvent, ces sanctuaires étaient utilisés pour stocker, diriger ou renforcer les gardes ou d'autres effets magiques, comme la magie qui empêchait les esclaves de se rebeller. Beaucoup de ces sanctuaires ont un pouvoir magique persistant, longtemps en sommeil mais attendant toujours qu'un prêtre les réveille.

Rôle du Prêtre[2]

lissala pretre

On enseigne aux prêtres que l'obéissance à ses supérieurs est absolument nécessaire, que suivre les ordres est une forme mineure de prière et que la déesse accorde la connaissance à ceux qui servent fidèlement. Chaque prêtre sait exactement à qui il rend des comptes dans la hiérarchie de l'église et quels sont les subordonnés qu'il peut commander, ainsi que les instructions qui ne sont que des suggestions et les sous-fifres qu'il doit laisser tranquilles. Chaque jour est une liste régimentée d'activités, le travail, le culte, les repas, les loisirs, les célébrations et le sommeil étant tous à des moments précis afin que le temple dans son ensemble fonctionne sans problème. S'écarter de ces plans entraîne des perturbations ; par exemple, si un repas est pris en retard, la cuisine est surchargée de personnes supplémentaires à une certaine heure, un culte bruyant ou une célébration à des heures inappropriées peut réveiller d'autres personnes qui doivent dormir à cette heure, etc. Les prêtres apprennent rapidement la valeur de ce type d'horaire et ont tendance à se mettre rapidement en colère lorsqu'ils ont affaire à des personnes plus détendues en ce qui concerne les horaires et les délais.

Dans une fête d'aventure ou même dans une situation de voyage courante, un prêtre aime établir un horaire pour le groupe et s'attend à ce que tout le monde le respecte, y compris les brefs repos pendant la journée et l'affectation des personnes de garde la nuit. Si les compagnons du prêtre ne s'y conforment pas, le prêtre peut se venger en exagérant ses activités pour déranger les autres, comme par exemple en se privant à voix haute lorsque les autres essaient de dormir.

Les prêtres apprécient les personnes qui sont bien informées et disposées à enseigner dans un domaine de compétence. Par exemple, si un prêtre n'a aucun intérêt ou talent pour les tactiques de combat mais qu'il voyage avec un mercenaire ou un officier militaire expérimenté, il se tourne vers cette personne pour obtenir des conseils au combat sur l'ennemi le plus dangereux, les alliés dont on peut se passer et le moment où il faut battre en retraite. Un prêtre intelligent est capable de compartimenter le moment où il dirige les autres (par exemple en fixant un horaire pour une caravane) de celui où il doit suivre les ordres d'un autre (par exemple en obéissant aux ordres de bataille d'un officier). D'autres peuvent trouver la transition d'un planificateur autoritaire à un guérisseur taciturne peu caractéristique, mais pour le prêtre, c'est un mécanisme d'adaptation bien développé, appris dans un temple de hiérarchies complexes qui se chevauchent.

Alors que Thassilon se décadensait, le sacerdoce de Lissala s'est également développé, bien que ce soit le reflet de la culture du pays et non une directive de la déesse. Au cours des siècles précédents, l'église encourageait les acolytes paresseux à faire carrière en dehors de la prêtrise et vendait des esclaves à faible volonté à d'autres temples. Avec le temps, la prêtrise s'est durcie et la flagellation est devenue une pratique courante parmi les sous-fifres et les esclaves, soit pour punir des erreurs mineures, soit pour la satisfaction du clergé supérieur. Le fouet de Lissala est devenu une menace active plutôt qu'un subtil rappel d'encouragement. Chaque temple adopta l'un des sept vices et concentra sa magie sur ce vice. L'auto-mortification devint une pratique courante ; les prêtres marquèrent des runes dans leur chair pour montrer leur dévotion, impressionner leurs collègues et purger de leur corps les faibles impulsions et les vices rivaux. Les grands prêtres avaient souvent des dizaines ou des centaines de runes pour décorer leur corps, et ils ont appris à investir ces runes de pouvoir, un peu comme cela a été fait avec la création des géants des runes. Les factions au sein des églises se sont lancées dans des recherches magiques et ont débloqué de grands et terribles pouvoirs : les prêtres gloutons ont créé des rituels pour se transformer en vampires, les prêtres paresseux ont ralenti leur métabolisme et ont vécu dans un état méditatif de rêve pendant des semaines, et ainsi de suite. Au fil du temps, ces pratiques sont devenues plus importantes pour les prêtres que le véritable culte de la Lissala, et leurs pouvoirs divins se sont affaiblis alors même que leur maîtrise des arcanes s'améliorait. Ces actes n'étaient pas en contradiction avec les enseignements de Lissala (et ont été pratiqués pendant des décennies par des prêtres en règle), mais lorsque la cérémonie séculaire remplace la véritable dévotion et le culte dans une religion, un clerc risque de perdre le lien avec sa déité qui alimente la magie divine. Finalement, Lissala n'a accordé des sorts qu'à quelques membres de la prêtrise, les autres étant devenus depuis longtemps des lanceurs de sorts ou des êtres magiques (dont Runelord Krune, son grand prêtre).

Avec la chute de Thassilon, les quelques prêtres qui lui restaient se sont cachés ou ont suspendu leur animation (ou sont devenus des morts-vivants). Ils ordonnèrent à leurs disciples de pratiquer les enseignements de la déesse en secret et de persévérer jusqu'au moment de réveiller les chefs. La plupart de ces cultes cachés révèrent également les sept péchés plutôt que d'être purement consacrés à Lissala, mais cela pourrait changer si elle revient en force et unit ses adeptes dispersés.

Un prêtre a généralement une liste mentale ou un calendrier des choses à accomplir chaque jour. Ces efforts sont coordonnés avec d'autres membres de la secte, travaillant ensemble vers un objectif lointain mais réalisable. Dans les pays civilisés, ses prêtres peuvent se faire passer pour des adeptes de Nethys ou de Pharasma, en prononçant des paroles de sagesse sur la magie et le destin. Dans les pays maléfiques, ils peuvent prétendre servir Asmodée, encourageant l'obéissance et la conjuration diabolique. Ses prêtres sont patients et méthodiques, endurant des épreuves, l'indignité et l'indignation intérieure de dire de fausses prières à un autre dieu au lieu de vraies prières à Lissala. Le prêtre d'Ifa suit un culte de mortification, un espace caché sur son corps peut être le site de nombreuses coupures qui se chevauchent - un rituel secret de foi et d'obéissance pour honorer les vraies croyances du prêtre.

La robe officielle du clergé est une robe jaune ou beige avec un manteau vert. Les décorations en peau de serpent et en siphon sont courantes mais ne sont pas obligatoires, sauf pour le clergé de haut rang. La tenue de cérémonie peut comprendre une calotte à motif de serpent et une armature métallique portée sur les épaules qui soutient plusieurs ailes majestueuses mais fragiles faites de fil de fer et de plumes d'oiseaux. Les cicatrices, marques et tatouages en forme de runes sont courants (surtout dans les cultes de mortification) mais pas nécessaires.

Traditionnellement, l'église de Lissala était très impliquée dans la communauté locale, contribuant à la magie pour construire les défenses et fournissant des esclaves et des sous-fifres charmés pour aider à des tâches dans toute la ville. Pour un cultivateur secret, l'interaction avec la communauté suit un rôle similaire à celui de la foi que le prêtre imite, bien qu'il mette généralement l'accent sur le service.

Texte Saint[2]

Le livre saint officiel de l'église est la Dévotion aux Sept Formes, qui comprend huit chapitres. Le premier chapitre explique les principes de la foi, les autres expliquant chacun l'une des sept écoles magiques dignes d'intérêt (abjuration, conjuration, enchantement, évocation, illusion, nécromancie et transmutation), et mettant l'accent sur la relation entre les runes et le pouvoir magique. Dans les exemplaires les plus précieux, la première page d'un chapitre est faite de peau humaine donnée par un des fidèles, et le texte d'introduction y est tatoué ou marqué du vivant de la personne. La plupart des exemplaires de son livre ont été perdus ou détruits lors de la chute de Thassilon, et ceux qui se trouvaient entre les mains des adeptes du culte du péché ont peut-être été révisés pour gonfler l'importance du péché qu'ils avaient choisi.

Aphorisme[2]

Comme sa foi a beaucoup changé au cours des quelques derniers siècles de Thassilon et que les cultes survivants sont cachés et pratiquent peut-être des corruptions de ses enseignements originaux, il n'est pas clair quelles phrases remontent à la foi originale, car aucune n'est une citation directe de son saint texte.

Jours Saints[2]

Le texte sacré décrit diverses fêtes associées aux conjonctions stellaires et leurs relations spécifiques avec les sept écoles de la vraie magie. L'église décadente a ajouté sa propre fête et son propre rituel liés à la magie runique.

Fête des Sigils : Dans sa forme originale, les prêtres organisaient ce rituel lors de 3 jours saints dans l'année. La fête relie les âmes des participants - en puisant leur pouvoir dans les runes tirées du vin, de la cire, du sang, du parfum et de la nourriture - amplifie cette énergie, puis la restitue aux festins, qui gagnent plus que ce qu'ils y mettent. Dans le Thassilon décadent (et dans la pratique moderne), les non-chanteurs se joignaient à la fête, perdant par inadvertance leur énergie vitale au profit de la fête, ce qui augmentait le pouvoir des prêtres.

Relation avec les autres Religions[2]

Lissala est une déesse maléfique, mais elle a eu des relations amicales avec toutes les divinités de Thassilon, même Desna (bien que le Desnans moderne n'aurait pas beaucoup d'amour pour son église). Elle avait une rivalité féroce avec Amaznen, le dieu de la magie Azlanti, mais il a peut-être été tué lors de la chute de la Terre et son culte a été interdit à Thassilon, ce qui lui a laissé le pouvoir suprême en matière de magie. Dans le Golarion moderne, elle n'a eu aucune interaction avec aucune divinité connue depuis des milliers d'années.

Nouveaux Sorts[2]

Les clercs de Lissala peuvent préparer le sceau du serpent sépia comme sort de troisième niveau et des runes explosives comme sort de troisième niveau. En outre, ses prêtres ont accès au sort suivant.

Lissalan Snake Sigil

École voir texte ; Niveau clerc 3, sorcier/magicien 3 (Lissala) Durée permanente jusqu'à la sortie ; 1 jour/niveau ; voir texte Il existe sept variantes de ce sort, une pour chacune des écoles de magie thassiliennes. Chacune fonctionne comme un sceau serpent sépia (et compte comme ce sort dans le but de combiner d'autres sorts qui cachent ou déforment le texte), sauf qu'au lieu de piéger le sujet, l'effet du sceau déclenché dépend de l'école de ce sort. Cet effet dure 1 jour/niveau. Il s'agit d'un effet de malédiction qui peut être supprimé par le biais de la fonction Supprimer la malédiction.

Abjuration: All beneficial magical effects on the target last half as long as normal.

Conjuration: The target is nauseated. This is a poison effect.

Enchantment: The target takes a id6 penalty to Intelligence, Wisdom, and Charisma. This is a compulsion effect.

Evocation: The target gains vulnerability to an energy type, chosen randomly from the following: acid, cold, electricity, or fire. This is an acid, cold, electricity, or fire effect.

Illusion: The target’s vision is blurred, giving it a -4 penalty on Perception checks relating to vision, and the target treats all other creatures as having displacement. This is a glamer effect.

Necromancy: The target is exhausted. This condition cannot be removed with rest.

Transmutation: Target is affected by slow.

Customized Summon List

Lissala’s priests can use summon monsterspells to summon the following creatures in addition to the normal creatures listed in the spells.

Summon Monster VI Advanced kyton evangelist (lawful, evil), Dark naga* (lawful, evil)

  • This creature has the extraplanar subtype but otherwise has the normal statistics for a creature of its kind.

Références

  1. Pathfinder Society -S03-26 Portal of the Sacred Rune
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 2,6 et 2,7 L'Étoile brisée #5
  3. Pathfinder Society - [EN] - S04-12 The Refuge of Time