Alkenastre

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{s:Nation|Alkenastre|%2fPCUP%2fNation-PNG%2fAlkenstar.png|La Terre sans Magie|LN|Monarchie Constitutionnelle|Grande Duchesse Trietta Ricia|Alkenastre (53 600)|Dongun (1 900), Martel (10 300)|le Fort Brisenuage, la Grande Trappe de Rovagug, la Désolation de Mana, le Pont des Dieux|Principalement humaine et naine|osirionais, kéléshite|Torag, Abadar, Érastil, Irori} Coincé entre le Nex et le Geb et neutre envers ces deux pays dans la guerre qu'ils se livrent, le Grand Duché d'Alkenastre est une petite bande de terre de l'est du Garund. Territoire où la magie est absente, en raison de la présence d'une zone appelée la Désolation de Mana, les différents dirigeants d'Alkenastre ont incité le développement de la science et de la technologie. Ainsi est apparue une spécialité régionale que l'on ne retrouve nulle part ailleurs : les armes à feu.[1]

Géographie d'Alkenastre

flag

En raison de la Désolation de Mana, vaste zone sans magie située à l'est du territoire, sur la côte de l'océan Obari, les habitants d'Alkenastre se sont essentiellement regroupés dans la partie ouest du pays, autour du grand canyon formé par la rivière Ustradi.

Durant de très nombreuses années, la rivière a creusé la roche pour former une vallée très encaissée. C'est sur les bords de cette falaise, appelés les chutes de l'Enfer, que s'est établie, en terrasses, la ville d'Alkenastre.

A l'ouest du pays, les contreforts de la Chaîne Brisée, contiennent de nombreuses ressources minières exploitées par les nains installés dans la ville-citadelle de Dongun.

A l'est de la capitale, le Fort de Brisenuage est le point névralgique de la défense d'Alkenastre contre les créatures hantant la Désolation de Mana.

Ces deux hauts lieux du pays sont reliés à la capitale par l'une des quelques merveilles architecturales ou naturelles de Golarion, le Pont des Dieux.[1]

Lieux et monuments remarquables

En plus des trois villes principales du Grand Duché d'Alkenastre, il existe sur le territoire trois autres lieux ou sites remarquables à noter :

  • le Fort de Brisenuage : Ce fort, situé à l'est de la cité d'Alkenastre, a été construit pour protéger la capitale des attaques incessantes des monstres et autres aberrations qui hantent la Désolation de Mana. Il est relié à la cité phare du Grand Duché ainsi qu'à la citadelle céleste de Dongun par le Pont des Dieux.
  • la Grande Trappe de Rovagug : Seconde bombarde jamais construite sur Golarion, cette arme de défense de la cite d'Alkenastre mesure près de 2 mètres de diamètre et possède une portée de 15 à 30 kilomètres. Malgré le fait qu'elle est peu utilisée (deux fois depuis son inauguration en 4450), elle est toujours en état de marche. On notera que la difficulté de son rechargement, qui nécessite une heure et quatorze servants, explique peut-être que l'on hésite à s'en servir régulièrement.
  • le Pont des Dieux : Cette magistrale œuvre architecturale, démonstration de l'art des habitants du Grand Duché dans ce domaine, permet de relier la citadelle céleste de Dongun au Fort de Brisenuage et à la ville d'Alkenastre. Il surplombe la vallée de l'Ustradi située quelques 500 mètres plus bas.[1]

L'importance de la recherche scientifique

La Désolation de Mana faisant son office, aucun des habitants ou des visiteurs du Grand Duché d'Alkenastre ne peut pratiquer la magie. Pour se défendre, les dirigeants du pays ont donc favorisé à outrances d'autres formes de défense, basées sur la technologie. L'essentiel de la production minière des nains de Dongun est destinée à la recherche scientifique et à la production du plus beau trésor qu'elle ait produite : les armes à feu. En effet, le pays s'est fait une spécialité de ce type d'armes et l'immense Manufacture d'Armes et Poudre d'Alkenastre est l'usine qui emploie le plus d'ahbitants du Grand Duché, tant dans le domaine de la recherche que dans la production.

Fabriquées à la chaîne, les armes ne sont pas d'une qualité supérieure, et la productivité de l'usine n'est pas optimale. Officiellement pour gonfler artificiellement le prix de chaque arme de poing ou canon, officieusement pour éviter que d'autres pays ne tentent de s'approprier cette technologie et ne portent atteinte à la sécurité du pays.

Mais s'il est impossible de se procurer une arme de qualité suffisante au magasin de la Manufacture, des armuriers sont présents un peu partout dans le pays qui se sont faits experts dans l'amélioration de ces armes à feu. Ainsi, il est possible de faire d'un fusil ou d'une arme de poing, une arme de maître, moyennant le double de prix de l'amélioration d'une arme plus conventionnelle.[1]

Références