Oreille du loup

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Wolf's Ear
Cité
Nation Varisia
Region Magnimar

Source: The Hook Mountain Massacre, pg(s). 69

La ville de l'oreille du loup gagne son nom de d’inhabituellement grande population de lycanthropes qui ont leur maison dans la communauté. A l'origine, la ville servait de refuge pour les personnes atteintes de la maladie, où ils pouvaient vivre ensemble dans une paix relative, libre de persécution. Quand la ville a été annexée par Magnimar en 4671 AR, le Seigneur-maire de Magnimar réprima cette pratique. Cependant, les citoyens ne se sont pas laissé faire, et un conflit sanglant s'ensuivit. En fin de compte, les lycanthropes ont été soit tués, exécutés hors de la ville, ou poussés dans la clandestinité. Dans la lutte sanglante qui s'ensuivit, les lycanthopes furent repoussés sous terre. Les chefs magnimariens, mal préparés à une résistance si passionnée, furent ravis de s'en tenir là. La position officielle de Magnimar est que tout racontar évoquant la lycanthropie n'est, justement, que rumeur. Ceux qui dénoncent les habitudes étranges des villageois sont rapidement réduits au silence.[1]

Habitants

Oreille du Loup Carte

La plus grande population de lycanthropes dans Oreille du loup aujourd'hui sont des loups-garous, bien qu'ils s'efforcent de garder leur présence secret aux étrangers. Ils préfèrent généralement subtilement sapé l'autorité de Magnimar aussi longtemps que leur territoire ou leur autorité dans le voisinage n'est pas menacé, mais pourraient causer quelque problème si le seigneur-maire n'empiète sur leur territoire.

Récemment, un groupe rebelle de loups-garous dirigé par une jeune femme nommée Ruxandra Katranjiev a appelé à une opposition plus ouverte à Magnimar, allant même jusqu'à suggérer que tous les non-lycanthropes soient exilés de la ville; Jusqu'à présent, ses opinions ne sont partagées que par une petite minorité de la population. [2]

Références

  1. L'Eveil des Seigneurs des runes - La massacre de la montagne crochue
  2. James Jacobs, Rob McCreary, and F. Wesley Schneider. (2010). Classic Horrors Revisited, p. 61